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Après l’intermède catastrophique de Charles Roze, les dirigeants rappellent l’ancien Diable rouge espagnol José Mandaluniz. Le Stade rennais UC doit notamment recomposer son attaque après le départ de Jean Grumellon qui retrouve l’US Saint-Malo pour y disputer ses derniers matchs, mais aussi le manque de compétitivité de José Caeiro, qui commence à ressentir le poids des ans. À l’issue de cette saison 1955-1956, le Stade rennais obtient son billet pour son retour en Division 1, trois ans après l’avoir quittée. Pour la saison 2014-2015, entamée avec ambition, le club fait son retour au Stade Charléty. Martínez finit cette saison avec 31 buts, signe de son acclimatation rapide. Faute de sources suffisantes, il est impossible de récapituler l’ensemble des joueurs ayant évolué au club pendant cette période. Malgré le recrutement de bons joueurs de D1, les résultats sportifs ne suivent pas. C’est finalement l’AS Troyenne et Savinienne, 17e de D1, qui est maintenue dans l’élite. C’est finalement un but providentiel marqué par ce même Grumellon à quatre minutes de la fin qui sauve les « Rouge et Noir ».

Déçu par le duo Beltramini-Boubacar, qui n’a su faire oublier celui emmené par Bianchi et M’Pelé, le président Francis Borelli recrute donc deux nouveaux attaquants, l’« Ange vert » et Nambatingue Toko de Valenciennes. La saison 1952-1953 du Stade rennais Université Club débute le 24 août 1952 avec la première journée du Championnat de France de Division 1, pour se terminer le 7 juin 1953 avec une relégation en Division 2 concédée après deux défaites en matchs de barrage. Pour son retour en Division 1, le Stade rennais UC doit faire face à une saison bien difficile. La saison 1955-1956 du Stade rennais Université Club débute le 21 août 1955 avec la première journée du Championnat de France de Division 2, pour se terminer le 27 mai 1956 avec la dernière journée de cette compétition. Cette fois, c’est le futur champion de France niçois qui sort les « Rouge et Noir » dès les seizièmes de finale.

Plusieurs joueurs arrivent pour combler ces manques : le jeune algérien Mahi, le futur international Stanislas Dombeck ou encore l’Aixois Guy Méano. Dans un championnat au niveau plus resserré qu’en 1954-1955, cela suffira à propulser Henri Guérin et ses joueurs parmi les prétendants à une promotion directe. Salvador Artigas repart à la Real Sociedad, et est remplacé par son ancien coéquipier Henri Guérin qui, comme l’Espagnol et son prédécesseur François Pleyer, officiera comme entraîneur-joueur. Calamiteux à l’extérieur, Henri Guérin et ses hommes doivent l’emporter chez des Verts tout juste sacrés champions de France pour être certains de se maintenir. Souvent en difficulté à l’extérieur, les hommes d’Artigas compensent par de bons résultats à domicile pour rester en position confortable au classement. Le régiment compte alors environ 2 500 hommes. Artigas emmène dans ses bagages un ancien coéquipier, Patricio Eguidazu alors que Roger Vialleron arrive de Monaco. À l’instar de Pleyer, Artigas prendra occasionnellement la casquette d’entraîneur-joueur, maillot psg pas cher faisant quelques piges au milieu ou en défense lorsque le besoin se fera sentir. François Pleyer, entraîneur de l’équipe première depuis 1945, est remercié.

D’origine Corse, mais né à Beinheim en Alsace d’un père douanier originaire de Calcatoggio, un petit village au nord d’Ajaccio (Corse-du-Sud), François Bracci a toujours été très proche de Marseille. 52 7 février 2007 Stade de France, Saint-Denis, France Argentine D 0 – 1 Match amical Titulaire, remplacé par François Clerc à la 46e minute. Comme si cela ne suffisait pas, le mois de septembre voit le départ de la présidence de Marcel Delisle, vite remplacé par M. Florio. Pour le reste, le club reste fidèle à sa politique régionaliste en faisant venir quelques jeunes talents bretons, comme Jacques Poulain ou Marcel Abautret. Après la fusion avec le PFC, le club adopte les couleurs rouges et bleues de Paris associés au blanc royal sangermanois. Lors de chaque journée de championnat à domicile, le club avait l’habitude de publier un mini-magazine officiel gratuit : Le Rouge & Blanc. La saison suivante, le club croise la route des Bisons de Neuilly-sur-Marne. Ce grand retour aurait cependant s’effectuer avec une saison d’avance. ↑ « Handball hebdo n°60 : Quarts de finale retour », Fédération française de handball, 19 avril 1994 (consulté le 27 mars 2021), p.

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